Agence immobilière quartier des musiciens à Nice: Prix M²
Quartier les " Musiciens" à Nice .
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"Les Musiciens : un quartier de charme"
Plongée dans l’histoire de Nice :Un quartier de charme célèbre les Musiciens.L’Origine du quartier « Les Musiciens »
Le quartier des Musiciens doit sa naissance à la
création de la voie ferrée et à l’explosion touristique en 1860. Auparavant,
la ville nouvelle de Nice s’arrête au boulevard de « ceinture « de
l’avenue Victor Hugo, au-dessus, débute la campagne avec de vastes
plaines, un extraordinaire jardin d’Eden couvert de diverses cultures
maraichères, on y voit une multitude de petites rivières et de sources
d’eau pour la culture du cresson, des arbres fruitiers ; citronniers et
orangers, ainsi que d’autres cultures de fleurs. Le
chemin de fer permet la création de l’ouverture de l’avenue du Prince
Impérial (Avenue Jean Médecin) et va donner naissance à deux quartiers ;
celui de la gare, populaire et celui des Musiciens, bourgeois et cossu.Suite
à l'essor touristique et à l'annexion de Nice à la France en 1860, le
quartier des Musiciens a connu une expansion avec la construction de
nouveaux immeubles. Autrefois peuplé de nombreuses petites villas
niçoises, de jardins, de cressonnières et d'exploitations horticoles, ce
quartier a vu naître un charme particulier.
En 1904, Le roi
Léopold II débarque aussi à Nice par le chemin de fer . (Après avoir
acquis un terrain à St Jean Cap Ferrat, il achète pour 1 franc
symbolique une grande propriété à Beaulieu Sur Mer, aujourd’hui nommée »
VILLA LEPOLDA » et mise à prix en 2008 à 390.000.000d’Euros.Les rues
portent le nom de musiciens célèbres, offrant une poésie à la
dénomination du véritable quartier. Certains de ces musiciens n'ont
jamais mis les pieds à Nice, comme Mozart, dont une place, la place
Mozart, est agrémentée d'un jardin au cœur du quartier. D'autres, au
contraire, ont séjourné dans la région. Des édifices
remarquables ponctuels ces rues. Au 28 rue Verdi, au 36 rue Rossini, au 9
rue Auber et au 2 rue Guiglia, on trouve de nombreux palais et hôtels.
Ces bâtiments, datant généralement du début du XXe siècle, illustrent le
style architectural emblématique de la Belle Époque éclectique à Nice,
entre 1895 et 1920. Parmi ces trésors architecturaux, le palais
Gounod, situé au 24 de la rue éponyme, se distingue. Primé au concours
d'architecture de 1906, il représente un superbe mélange d'Art nouveau
et de Belle Époque. Malheureusement, son dôme a été perdu au fil du
temps. Une anecdote fascinante : les champagnes Moët et Chandon
occupaient le rez-de-chaussée surélevé du côté de la rue Rossini, d'où
les sublimes panneaux en patte de verre façon mosaïque représentant de
généreuses grappes de raisins secs. Une visite s'impose pour découvrir
ces trésors cachés du passé.
